Je connais quasiment l'ensemble des sortilèges et philtres qui soient demandés de connaitre. D'ailleurs, j'aime me servir de la magie sans limite comme on me l'a enseigné.
Pêché mignon :
Le Tiramisu à la fraise. Et le fraisier. En fait : tout ce qui peut se faire avec des fraises.
My story
Je n’ai jamais eu l’impression d’avoir eu une vie exceptionnelle. J’ai toujours vécu à Moville, à l’extrême nord de l’Irlande, bien que je sois né à Londres. Ma mère est morte en me donnant la vie, soit quelques minutes après que je pousse mon premier cri. Mon père ne m’a cependant jamais reproché sa mort. Certainement parce que cela ne l’était pas. Seulement je savais qu’une mère décédant lors d’un accouchement sacrifiait sa vie afin de conserver celle de sa progéniture. Ma vie était donc si précieuse ? Je n’en ai pas l’impression. D’ailleurs, mon père ne m’a jamais donné cette impression. Il s’occupait de moi, m’élevait seul, mais il ne restait qu’un père distant. Par ailleurs, lorsque je l’interrogeais au sujet de ma mère, le sujet était rapidement clos. Cela commençait toujours par des réponses évasives, puis des « et pourquoi tu veux savoir tout cela ? » pour terminer avec un simple « cesse de me poser tant de questions, tu me fatigue. ». Si cela me poussait à bouder quelques minutes, je ne savais rester fâché contre cet homme qui faisait tout pour me combler et me donner le nécessaire. Et parfois plus.
Est-ce que j’ai des frères et sœurs ? Non. Enfin pas avant des années. Quoi que j’aurai bien aimé. Je ressentais bien souvent un manque de ce côté-là. Comme si une part de ma vie m’avait été kidnappée. Le plus souvent, cela se traduisait par l’intention de raconter ça au petit frère. Ah, non. C’est vrai : il n’y en a pas. Ce ne fut pourtant pas les tentatives de séduction auprès de mon père afin d’avoir un petit frère ou une petite sœur étant jeune garçon. J’avais cependant un père têtu qui s’était décidé à ne jamais trouver une nouvelle âme-sœur. Mais ne sous-estimez jamais la ténacité d’un Parks puisque, finalement, son père se maria avec une Irlandaise. Alors que j’avais 11 ans, je vis enfin apparaitre dans ma vie cette jeune sœur que j’avais toujours attendue. Et pourtant… Et pourtant, je ne me sentais pas si proche que ça d’elle. Je conservais quelque part ce manque impossible à calmer. Une absence se faisait toujours présente et il était impossible de savoir qu’elle en était l’origine. D’autant plus que l’année de mes 11 ans marqua un tournant dans ma vie plus considérable que la naissance de ma jeune sœur.
Des événements étranges commençaient à apparaitre autour de moi. Des détails dont mon père ne semblait pas s’en inquiéter. Après tout, pourquoi se faire un sang d’encre pour avoir vu un balai volant et un bonhomme s’envoler dessus ? Croyant à mon imagination débordante, je préférai garder ces détails pour moi. Mais chaque jour, mon père me demandait si la journée avait été « normale ». Si quelque chose d’extraordinaire s’était passé. Visiblement, que mon meilleur copain de primaire ait acquis un caméléon – ce qui me semblait incroyable – ne faisait pas partie du lot. Et ce jour où je fis – « malencontreusement » – exploser le bocal du poisson rouge de mon ennemi juré lors de son exposé en classe, je compris que le caméléon n’avait aucun rapport avec les questions que me posait mon père. Et bien quoi, j’ai dit qu’il m’était difficile de qualifier ma vie « d’exceptionnelle ». Je n’ai jamais dit que je ne la trouvais pas singulière…
En réalité, quoi que techniquement je n’en ait pas été informé, je fais partie d’une bien étrange prophétie. Une légende qui, approximativement, ressemble à ça : Des triplés, nés sorciers, se battent afin de protéger les humains de la guerre Vampires contre Sorciers. Afin de mener à bien leur combat et de sauver les humains, les deux frères viendront à mourir et leur sœur se suicidera, brûlée par son chagrin. Joyeux tout cela, non ? Et oui, je suis né pour mourir. Et surtout, je ne suis jamais né seul ! Non non. Je suis bien l’ainé d’une ribambelle de triplés. Lié par neuf mois à vivre ensemble dans si peu d’espace, à se créer côte à côte, j’ai toujours compris qu’il me manquait quelque chose dans la vie. Le « quoi » restait un mystère. Mon frère et ma sœur ne sont pas morts durant l’accouchement avec ma mère. Tous trois ont bel et bien survécu, et vivent ensemble. Eux, par contre, sont persuadé que je suis mort quelques minutes après ma naissance. En réalité, mon père me kidnappa à la maternité afin d’empêcher la prophétie de se réaliser. Ce soir-là, Andrew K. Prescot fut déclaré officiellement mort. De l’autre côté de Londres, un jeune A. Kilian Parks venait de voir sa naissance officiellement déclarée. Oui, mon père décida de m’appeler par mon second prénom. Certainement afin d’entretenir sa psychose naturelle.
Comme vous pouvez le constater, j’ai mené jusque-là une vie plutôt banale. Ok, cela ne saute peut-être pas aux yeux. Et pourtant, j’ai été un jeune garçon s’émerveillant pour un rien. Pour qui les meilleurs amusements se trouvaient dans les préparations de farces et autres bêtises. D’ailleurs, le vieux O’Donnell ne doit pas garder un très bon souvenir de notre voisinage. Et bien quoi ? Qui ne rêve pas de libérer des poules retenues prisonnières pour devoir leur courir après afin de les rattraper ? Dans ce village au plus haut de l’Irlande, il fallait bien trouver des occupations. Quelques années plus tard, je vous avoue qu’un de mes passe-temps favoris fut les conquêtes. Et disons-le clairement, mon sourire ravageur et mes yeux presque noirs avaient tout pour séduire les demoiselles. Pour autant, je n’étais pas un grossier. Chacune d’elle fut traitée à leur juste valeur, tel un gentleman. Elles furent nombreuses, certes. A des intervalles proches, on ne peut pas me le reprocher. Mais aucune d’elle ne fut comparée à un déchet. Enfin. On ne peut pas reprocher à un adolescent de vivre sa vie et de découvrir les plaisirs qu’elle peut amener. Le lycée ne se passa pas bien différemment. Je conservais ma réputation de Don Juan, et celle-ci permettait à ma cote de battre des records. J’étais admiré, aimé, entouré de nombreuses personnes, mais j’étais seul. Encore.
Ne me croyez pas irresponsable pour autant. Au contraire. Avec mon quotidien, je me devais de faire face à mes obligations et mes responsabilités. Après tout, je suis né sorcier. Chaque jour, plusieurs heures étaient consacrées à mon enseignement de la magie. Je n’ai jamais été en école. Mon père n’en avait pas les moyens, et surtout il me répétait sans cesse que les professeurs dans cette école endoctrinaient leurs élèves dans leurs convictions. Ainsi, je devais me forger mes propres croyances par moi-même. Croire en mes efforts et les résultats qu’il s’en produisait. C’est pourquoi mon père, dans l’apprentissage qu’il me fournissait, ne m’imposa aucune limite dans la manipulation de la magie. Je devais connaitre moi-même les limites du raisonnable et du déraisonnable. Faire apparaitre des papillons pour épater une fille : raisonnable. Utiliser un philtre d’amour : déraisonnable. Demander au balai de nettoyer lui-même sa chambre : raisonnable. Brûler le chien du voisin : entièrement déraisonnable. J’apprenais alors tout ce qu’il y avait à connaitre. Magie blanche, magie noire. Sortilèges, philtres, tout. Je suis alors devenu un sorcier puissant du fait de ma grande connaissance. Peut-être pas le meilleur (malheureusement), mais un des meilleurs. Ma spécialité ? L’illusion et la manipulation des rêves. De fait, si vous dormez à mes côtés, il y a de fortes chances qu’un tigre vienne « tendrement » (ou pas) vous mordiller (ou presque) les orteils (ou plus). Si vous venez à me croiser dans mes mauvais jours, il se pourrait que je choisisse de vous faire croire que le marchant de glace au coin de la rue est la porte de l’enfer qui n’attend que votre mort imminente.
Cruel ? Nooon. Juste joueur. Très d’ailleurs. Il était impossible de me voir refuser un pari. Bien sûr, je ne vous parle pas de ces paris totalement débiles « pas cap de te mettre tout nu au milieu du stade de foot du Lycée et de manger des vers de terre ». Non non. Le jour où on me verra dégrader ma propre personne, ce sera certainement parce que j’aurais eu un accident provoquant une défaillance cérébrale. Je préfère relever ces défis « magiques ». Ceux où l’on doit affronter un autre sorcier et montrer de quoi on est réellement capable… Hum, pardon ? Vous appelez ça comment ? Un ?... Un combat ? Oui, non. En effet. On pourrait appeler cela comme ça. Je vous rassure : j’ai – jusqu’à présent – toujours gagner un combat. Sauf contre mon père bien sûr. Sa connaissance étant plus développée que la mienne et sa puissance plus grande, il m’était difficile de pouvoir le vaincre.
Au détour de ces mots, je remarque que je vous parle bien peu de ma belle-mère et de ma sœur. Elles ont pourtant leur part dans mon histoire. Quoi que cela reste abstrait. Ma belle-mère divorça de mon père l’année de mes 15 ans. Cela ne me dérangea pas plus que cela, puisque je ne fus jamais attaché à cette personne. Ma sœur, continua à vivre avec nous après le départ de sa mère. Cette dernière étant une simple humaine, sa fille ne développa aucun pouvoir, restant donc humaine. Si je vous ai dit que je n’étais pas spécialement proche d’elle, je m’attelais fermement à remplir mon rôle de grand frère. Effrayer les petits-amis, la protéger si elle se sentait en danger, et lui permettre de découvrir le monde par ses propres yeux. Nous n’étions pas proches, mais je l’aimais tout de même. Alors quand je quittai la maison l’année de mes 18 ans pour me rendre à l’université, notre relation n’en pâti pas.
Mes études en université furent passionnantes. Etudiant en histoire et théologie, j’aiguisais encore ma curiosité sur une formation qui ne m’apporterait peut-être pas de débouchées. En réalité, je profitais du rythme « léger » de l’université afin de parfaire mon apprentissage de la magie. Mon diplôme en main quelques années plus tard, une thèse validée encore après, j’acceptais un poste de professeur d’université à Dublin, bénéficiant de mon propre appartement et d’un salaire confortable. Si je ne m’étais jamais vu professeur, mes recherches – elles – me correspondaient parfaitement. J’aimais étudier l’impact des croyances sur les humains. Surtout connaissant le rôle essentiel des sorciers dans le domaine de « l’inexplicable ». L’ignorance humaine me fascine. D’ailleurs, je ne pus m’empêcher de publier de rares articles que l’on pouvait qualifier de « en bord de ligne » au sujet de l’existence de la magie. Je ne révélais rien, mais tout sorcier lisant mes écrits pouvait comprendre mes allusions.
Une nouvelle fois, ma vie stagna. Je me cantonais dans ce boulot, dans cette vie libertine que je menais depuis bien longtemps déjà. Tout se bouscula l’année de mes 26 ans, lorsque mon père me demanda de rentrer dans notre ville natale. Si l’idée de retourner là-bas ne m’enchantait guère, je me voyais mal refuser la demande de mon père qui semblait plutôt inquiet. Alors du jour au lendemain, je plaquais mon travail, louais mon appartement et déménagea ma vie à l’autre bout du pays.
Si mon père était aussi inquiet, c’est qu’il avait pris une part trop importante dans ce combat Sorciers contre Vampires. Cette guerre que je n’ai jamais réellement compris, et surtout dont on me demandait de choisir un camp. Et forcément celui des sorciers, comme tout bon sorcier sorti de l’école de magie. Sauf que je n’étais pas sorti de cette école, et que mon père ne m’avait jamais forcé à défendre ses convictions. Je n’avais pas choisi quelle part j’aurais dans cette guerre, et cela ne plaisait guère. Surtout qu’un événement me poussa encore plus loin dans cette idée. Au nom de cette guerre, mon père décéda il y a à peine quelques mois. Les circonstances de sa mort sont plutôt étranges, et l’auteur de sa mort inconnu. Cette perte fut une véritable déchirure. Il m’était impossible d’accepter cette disparition. Cependant, je mis peu de temps avant de réagir. En moins d’un mois, tout ce qui n’était plus nécessaire était en vente, ainsi que la maison dans laquelle j’avais grandi. Désormais, ma sœur allait vivre à mes côtés puisqu’elle n’était pas encore majeure.
Nous vécûmes six mois dans mon appartement à Dublin qui était bien trop petit pour nous contenir nous deux. Six mois où je ne repris aucun travail, préférant chercher d’arrache-pied l’auteur de la mort de mon père. Autant le dire de suite : aujourd’hui encore je ne l’ai pas encore trouvé. Mais une seule ville revenait constamment dans mes pensées : Londres. Je n’y avais jamais vécu, je n’avais fait qu’y naitre. A force de tourner cette pensée dans tous les sens, il me fallait y retourner. Pourquoi ? Moi-même je ne sais pas. Je ne pris pas le temps d’y chercher une raison valable. Je remis l’appartement en location, et m’envolais à Londres avec ma jeune sœur. Si moi je n’y trouvais pas ce que je cherchais, elle par contre adorait la vie dans cette ville. Moi, j’y faisais des rencontres étranges. Comme cette femme, d’environ mon âge, qui insistait lourdement en m’appelant d’un nom que je ne connaissais pas. Si en temps normal j’aurais tenté de fuir ou de la séduire, cette fois-ci je ne pus m’en aller. Elle m’intriguait. Me fascinait. Et je ne pouvais m’empêcher de croire qu’il y avait quelque chose de particulier chez cette personne. Lorsqu’elle s’en alla, je ne souhaitais que la suivre afin de savoir qui elle pouvait bien être. Mais non. Je la laissais bêtement partir. Après de maintes recherches, me voilà arrivé à Wisteria Fall. Mes recherches m’ont amené jusqu’ici. Parce qu’il faut bien vivre de quelque chose, j’ai accepté une place de professeur d’histoire au lycée du coin, le même où étudie ma jeune sœur pour sa dernière année. En même temps, je tente de résoudre ce mystère qui m’a conduit jusqu’ici…
Who Are You
Pseudo ; Lex'ii Âge ; 21 ans Mot de passe du règlement ; Ok by Angie ^^ Comment as-tu connu le forum ; Par hasard il me semble, mais après quelques recherches tout de même ! Un avis à faire partager ? J'aime ;) Disponibilité ; 4/7
Sujet: Re: A.K. Parks . . I'm (almost) only Mar 9 Aoû - 23:20
Bonjour,
Je suis excitée, c'est la première fois que je suis la première à souhaiter la bienvenue à quelqu'un Bon ok .. je me calme. Donc bienvenu à toi sur le forum ^^ Bonne continuation pour ta fiche et surtout n'hésite pas à poser toute sorte de question ^^
Sujet: Re: A.K. Parks . . I'm (almost) only Mer 10 Aoû - 9:17
Bienvenue!
Mais c'est juste hallucinant d'avoir mes deux scénarios de pris en pas une semaine d'écart En tout cas, merci beaucoup de l'avoir choisi! Si tu as la moindre question, n'hésite pas =)
Sujet: Re: A.K. Parks . . I'm (almost) only Mer 10 Aoû - 18:59
Merci à vous tous =3
Gabriel : comment ne pas craquer sur le personnage ET Ben Barnes =P
Angel : ..... Ah ? O_o°... Alors là j'avance la question débile de : il fallait mettre les 4 codes qui étaient avant ? J'avais cru comprendre que non, et que, pour citer le règlement, cette phrase que j'ai mis était "la seule et unique". Et pourtant, j'ai lu le règlement de la première lettre jusqu'au dernier point. Donc après si j'ai effectivement loupé le reste, je m'en excuse et retourne lire le règlement.
Sujet: Re: A.K. Parks . . I'm (almost) only Mer 10 Aoû - 20:12
Euh... Un peu ouais lol. Bon ben je retourne lire les règlements contexte & tout une énième fois afin de trouver tout cela. Et j'attaque normalement mon histoire ce soir.
edit : après relecture, j'ai mis ce que je pensais que c'était. Si ce n'est toujours pas ça, je suis blonde. Si c'est bien ça, HALLELUJAH, j'aurais compris quelque chose mdr !
Sujet: Re: A.K. Parks . . I'm (almost) only Jeu 11 Aoû - 18:40
Ok dsl, je suis un peu dans les nuages. Je vais le préparer et comme ça il ne me restera qu'à te le poster à ton retour. Tu n'auras pas à le commencer, sauf si tu le souhaites
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Sujet: A.K. Parks . . I'm (almost) only 
Mar 9 Aoû - 22:27
Bon ok .. je me calme. Donc bienvenu à toi sur le forum ^^ Bonne continuation pour ta fiche et surtout n'hésite pas à poser toute sorte de question ^^ 
En tout cas, merci beaucoup de l'avoir choisi! Si tu as la moindre question, n'hésite pas =)
