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 Devon C. Ayrton - ♕ ♛- Une Kalash dans la gorge pour braquer son rêve...

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Anonymous



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MessageSujet: Devon C. Ayrton - ♕ ♛- Une Kalash dans la gorge pour braquer son rêve...   Devon C. Ayrton - ♕ ♛- Une Kalash dans la gorge pour braquer son rêve... Icon_minitimeSam 7 Mai - 11:02



Devon Camill Ayrton


© copyright - tumblr
« J'ai pendu l'espoir sur l'arbre de la patience... »
See Who I Am




Nom ;
Ayrton.
Prénoms ;
Devon & Camill
Âge ;
j'ai 644 ans, mais d'aparence j'en fais 25, la jeunesse éternelle...
Date de naissance ;
16 aout 1367
Profession ;
J'ai créée les clans de vampire, j'en suis leur chef.
Groupe ;
Vampire évidement

Passions :

Caractère :

Tes secrets :
Tout le monde à ses petits secrets, même l’être le plus diabolique de cette planète. Peu de gens savent de quoi il en tourne, mais heureusement, sinon ce en seront plus des secrets…

-Je ressens un profond regret d’avoir tuer ma femme, elle me manque souvent, et j’ai l’impression de ressentir sa présence à mes cotés parfois, je ne sais pas pourquoi, j’ai l’impression qu’elle est tout prés, pourtant je sais qu’elle n’est pas là…


-June ne me laisse pas indifférent, elle m’appartient pleinement, mais je ne me sens pas capable de lui ouvrir mon cœur, pourtant, je ressens vraiment quelque chose… Je pense que j’ai peur…

-La magie me fait peur depuis qu’elle a été capable de me ramener à la vie.

-Je veut la mort des sorciers.


Pêché mignon :
¨Peut-on qualifié une quelconque activité de Vampire de : mignon? Je crains que non...

My story

Je suis né un beau jour d’aout, une odeur florale recouvrait tout l’Angleterre et chaque endroit était baigné par un soleil timide… Nous somme en 1367, une jeune aristocrate, après 8 heure de travail donna naissance à son fils, Devon, il fut le plus beau cadeau qu’elle eut de toute sa vie, elle aimait son fils et attendait le retour de son père partie en guerre, mais celui-ci ne reviendra jamais du combat. Je ne manquais cependant pas de père, car les serviteurs de sa mère comblaient cette absence masculine. De plus je vivais paisiblement auprès de son grand père qui était un homme sage et aimant. Mon enfance fut normal, je n’étais pas un sorcier et j’avais étais ignorant de ce monde magique en parallèle avec le mien, j’avais grandi avec mon sabre de bois et étais un garçon turbulent. Je me complaisais à faire des caprices et à être violent, comme si tout m’appartenais et que nul ne pouvais contredire mon autorité… J’étais un sale gosse…

Et cela n’allait pas en s’arrangeant avec l’âge, j’étais tellement turbulent qu’à l’âge de 13 ans je fus envoyé dans un pensionnat pour y parfaire mon éducation. Là bas, ce fut comme en prison, je n’avais le droit à rien et tout était surveiller, cela ne m’empêcher pas de frauder et de me glisser dans le pensionnat des filles pour y faire des choses d’adolescent aux hormones bouleversé. Cependant, je devenait quelqu’un d’intelligent, de posé, quelqu’un qui réfléchissait, et je n’avais qu’une hâte, revenir à Londres. A mon retour, j’étais devenu un bel homme de 18 ans et je le savais, j’étais avec des projets plein la tête pour enrichir ma famille qui avait dut se serrer la ceinture pour m’envoyer en pension avant que je finisse comme un débauché. Je prenais immédiatement en main la fortune de sa mère et la rendait immensément riche, et un tel exploit ne paraissait pas inaperçu et le nombre de prétendante ne faiblissait pas, car il faut ce l’avouer, j’étais devenu un jeune homme vraiment séduisant qui attisait le regard des femmes et dont les louanges étaient flatteurs. Mais moi je l’attendais elle, celle qui serait l’étincelle dans mon cœur, je savais que je saurai la trouver, et quand elle sera là, je ne la lâcherai pas. Et j’avais eut raison d’attendre, car un soir ma mère avait organisé un diner banquet avec les Skypes, c’était une famille bourgeoise, pas très riche, mais avec une éducation parfaite, et il se trouvait qu’il y avait une fille… Elle était restée assise au coin de la table, alors que tout le monde ne faisait que de parler de moi, je n’écoutais même plus ce qui était dit à mon sujet, je n’avais d’yeux que pour elle, une jeune femme très distingué, qui savait se servir de toutes les fourchettes et qui était d’une politesse exemplaire… A la fin de ce copieux diner alors que ma mère décida de faire visiter à tout le monde le nouveau salon que nous avions fait meublé depuis Paris, car nous pouvions nous le permettre, je décidais tout bonnement de m’approcher d’elle et je lui baisai la main en la priant de se présenter, elle avait rougie et dans une légère révérence se présenta. Angel Skypes. Toute la soirée je continuais de la dévorer des yeux, cette femme emplis d’une pudeur qui me touchait… Je me rendais alors compte que c’était elle, la femme de ma vie…

Angel… Ce prénom résonnait dans ma tête durant une semaine entière, et je retournais la voir régulièrement, il me semblait que les jours étaient beaucoup plus courts et attractifs à ses côtés, elle était ma raison d’exister… Ce soir là, dans la cours de ma demeure, nous étions assis sur ce banc et je tenais dans ma main la sienne et finalement, je me jetai à l’eau en déposant sur ses lèvres un doux baiser… Le soir je jeuner, j’étais tellement heureux que l’appétit me manquait… Arriva le mois de février et fou d’amour pour cette femme, depuis quelque mois que nous fleuretions, je lui demandais d’être ma femme, elle rougissait encore et lui demanda un délai de réflexion que je lui accordai sans me questionner. Plus tard, je fus convié à la rejoindre chez elle, et là, je fus témoin d’une étonnante révélation, celle que j’aimais était une sorcière… De fus un choc et il me fallut un bon verre de scotch pour me remettre les idées en place… Cela resta gravé à jamais dans mon existence… Bien que troublais, j’acceptai sa nature et elle accepta d’être ma femme. Puis arriva Juin, et la cérémonie fut merveilleuse, jamais Je ne fus si heureux dans ma vie et cet instant fut tout simplement magique. Un jour qui restera à jamais gravé dans ma mémoire.

Voila à présent 7 ans que nous fûmes mariés, et tout deux, nous songions à avoir un enfant, emplis de rêves, je ne pensais pas que tout allait basculer ce jour la. Le froid de décembre avait habillé l’Angleterre d’un gros manteau blanc, et alors que je partais équiper les chevaux quand soudain un homme se jeta sur moi, A vrai dire j’aurais très bien pus m’en sortir s’il n’y avait pas eut un deuxième homme qui bondit dans son dos et lui fendait le crane en deux. Mort… Je fus enterré après avoir été recousus pour être plus présentable... Ma femme fut dans le chagrin… J’ignore encore ce qu’il c’est vraiment passé suite à cela… Mais je n’allais pas reposer en paix…

Une nuit noire et sans lune, je fus rappelé d’entre les morts, et je me retrouvais là, face à Angel, elle était si belle et si… Appétissante… Des larmes coulèrent de ses yeux, elle m’avait ramené à la vie… Mais à quel prix ? Elle se jeta dans mes bras, plus heureuse que jamais… Je sentais une faim inexplicable, et mes yeux se posèrent sur sa peau blanche dans son cou, j’embrassais doucement cette peau délicate, je ne la voyais plus comme ma femme à cet instant là, mais comme un repas… J’avais tout simplement faim d’elle… Je plongeais mes crocs dans sa peau et je l’entendais gémir alors que je me nourrissais avec une voracité sans pareille. Je la vidai de son sang alors qu’elle m’avait donné une nouvelle naissance grâce à la magie. Une fois rassasié, je songé qu’il ne lui restait plus beaucoup de sang, je jetai mes yeux sur ma tombe, puis je la regardais, inerte dans mes bras… Qu’avais-je fait… Je secouais cette femme la priant de ce réveiller, je restais auprès d’elle deux heures entières, je n’avais pas la force de pleurer, pourtant, j’avais tué la femme de ma vie… Alors que le soleil pointé son nez vers l’horizon, je sentais ma peau bruler et je m’enfuyais, abandonnant Angel ici… Je me damnais dans l’ombre… Qui était-il ? Un vampire…

Je fus bien seul durant de longue années, je me nourrissais d’humain, je les tuais un à un, je ne pensais plus à rien, j’étais traumatisé d’avoir tué ma propre femme, j’étais malheureux et incompris, je sombrais dans une débauche sanguinaire… Pourquoi avais-je fais cela ? J’étais retourné au château une nuit, et je trouvais dans l’un des tiroirs de Angel deux bagues bien étranges et j’enfilais aux doigts sans me soucier si cela était dangereux ou non… Un jour… Cette nuit là, au jour levant j’apercevais les deux hommes qui m’avaient tué, je n’osais avancer à la lumière, mais un force me poussa : la vengeance. Je me retrouvais dans les rayons du soleil sans me désintégré, cette bague… Elle ma protégé… Elle était pleine de magie noire ! Je tuais sauvagement ses deux meurtriers après leurs avoir foutu la trouille de leur vie de voir un fantôme, et même l’un d’entre eux me supplia de l’épargner en pleurant sa mère, mais je n’eus aucune pitié et ma vengeance fut terrible… Je sentais une présence à coté de moi, comme un fantôme, j’ignore ce qu’il c’est passé ce jour la, mais j’avais l’impression que cette présence me hantait… Je partais aussi vite, je découvrais ainsi cette faculté à se déplacer aussi rapidement… Ce fut un étonnement au début, mais j’adorai ça… J’apprenais à découvrir de nouvelles facultés… A bout du rouleau, j’en avais assez, je me jetais depuis un pont d’autoroute et je me fis renverser par une voiture… La douleur fut minime, et je me relever après avoir remis mes os en place… Je vidai de son sang le conducteur et je me rendais compte que j’étais immortel… Plus tard je me mis à entendre des conversation à l’intérieur des maisons voisines, et je m’apercevais que je ne pouvais entrer dans les maisons à moins d’y avoir été invité, ce qui était assez compromettant… Je sentais des choses, je voyais des choses… C’était difficile de m’y accoutumer… Mais cette soif de sang, j’adorai ça…

En 1457, Je rencontrai un jeune humain en train de picoler, je le mordais à pleine dents et le voyant mourir, je lui donnai de son sang et il le revit prendre vie, je finissais par lui briser la nuque, l’idée d’avoir quelqu’un à mes cotés finalement avait un coté effrayant… J le vis se relever quelque minute plus tard assoiffé de sang… C’était donc cela… Je fus très étonné de la méthode de transformation… Vu qu’il me réclamer du sang je lui trouvai une humaine qui servit d’encas à mon nouvel acolyte. Mioki. Beaucoup d’autre furent transformer, et je comprenais que les sorciers ne pouvaient être des vampires, ils mourraient et tout de suite, nos sangs n’étaient tout simplement pas compatible, je me fondais un clan de Vampire et je devenais redoutable. Mon autorité fus incontestable.

Plusieurs siècles ont passé, des sorciers sont partis à la chasse aux vampires et on décimé une bonne partie du clan, Je décidai de regrouper tous les vampires et de les protéger du mieux que je le pouvais. Au bout d’un certains temps, je décidais de faire une halte au brésil après avoir confié le clan à mon bras droit Prince, qui mourut pendant mon absence... Au brésil, je rencontrai une jeune femme, serveuse, très belle qui me mettais en appétit… De sang. Je la conduisais dans sa chambre et elle tenta de me tuer, car cette femme était une sorcière. June L. Salander. Elle m’avait complètement berné, et me planta un pieu en plein poumon, la douleur fut atroces mais pas insurmontable… Elle me soignait finalement me tenant prisonnier, mais après avoir reprit des forces, je dominai rapidement la jeune femme et grâce à mon pouvoir, j’arrivais à la convaincre de me libère, et c’est ce qu’elle fit… Je la mordais avec un plaisir incomparable. M’apprêtant à partir, je l’entendais encore respirer… Je m’approchai d’elle et pour abréger sa souffrance, je lui donnai de mon sang tout en sachant qu’elle en mourra. Mais à ma grande surprise elle fut remise sur pied, nous apprenions à faire connaissance, et un mois c’était déjà écoulé. Il était temps pour moi de rentrer chez les miens, de plus, je venais d’apprendre la mort de Prince et je me sentais coupable. Mais la jeune femme me supplia de la transformer, je fus assez déconcerté et je lui expliquai que c’était impossible mais elle insista tellement que j’avais fini par accepter et je lui fis à nouveau boire de mon sang après c’être nourri d’elle et je la tuai. Deux jours s’écoulèrent… C’était trop long, alors que je me préparer à plier bagage, je l’entendis se relever et réclamer du sang… je m’empressai d’aller lui chercher un bel encas qu’elle dévora… Je l’emmenais avec moi et plus jamais je ne la quittai des yeux… Je n’ignore en rien les sentiments qu’elle éprouve pour moi, mais je ne me sentais pas capable de lui donner ouvertement de l’amour… Je ressens encore cette présence à mes cotés, mais elle semble s’estompé peu à peu…

Un avenir trop hasardeux…

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